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je vis, je dis, je ris ...ou pas
30 juillet 2007

J'ai arrêté une bataille mais non la guerre

1ere journee officielle de vacances, puisque la semaine commence un lundi et se termine un dimanche, et la platitude de cette phrase traduit bien l etat d extreme fatigue dans lequel je me trouve. J ecris alors qu en ce moment la troisieme guerre locale...
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29 juillet 2007

Les vacances c'est reposant pour ceux qui les attendent

Je suis en vacances et je suis completement ratatinee. Je n ai jamais autant hausse la voix que ce jour soit disant beni, où Dieu s etant repose de son travail de 6 jours (bien que nulle evangile ne soit parvenue jusqu a nous pour nous rapporter ce que...
27 juillet 2007

Redites mais on ne se refait pas

Je suis prise d’une vraie frénésie de dépenses : je suis nolucky Luke qui tire sa carte bancaire plus vite que son ombre. Sauf que mon compte ressemble aux Daltons : il est de plus en plus petit. C’est logique, à force de sucer sa moelle, son espérance...
26 juillet 2007

La fatale femme

Je suis comme Droopy, je respire la joie de vivre et c’est d’un ton atone et inexpressif que je déclare être heureuse. Et surtout, que cela ne se sache point. Au cas où une Ombre supérieure souhaiterait que cet état de fait cesse et que mon bonheur se...
23 juillet 2007

L'oisiveté met l'accent sur le people

Tout change et rien ne change. J’ai changé de travail parce que je m’ennuyais et parce que les raisins d’à côté semblaient plus murs. Et comme Renart, je dois constater que leurs goûts sont aussi amers. L’avantage est, tant pas que je trouve ainsi le...
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22 juillet 2007

Je parlais de nous jusqu'à ce que Sarko arrive : Ubiquité,obséquité,iniquité

Week end tranquille par rapport au precedent ; ce qui change = Marcus. Il commence a piger la marche avant et, surtout, a se debrouiller seul et a ne plus reclamer nos bras a tout moment. En plus, Octavia souffre d une forte angine, donc s est endormie...
17 juillet 2007

Un somme nie l'insomnie

Mon cher blog, que dire ! Si ce n est que tu manques a mon esprit et ne point t ecrire est une souffrance, tel un regret qui colore de gris une journee bien terne, une flagellation que m infligent un ennui, une torpeur, une fatigue nerveuse, un engourdissement...
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